En raison de la différence de structure de la langue, les apprenants français ont des difficultés à apprendre les particules adverbiales coréennes ‘e' et ‘esseo'. Le but de cette analyse est d'étudier les caractéristiques de leurs diverses fonctions sémantiques et la relation des éléments de signification dans le (con)texte, de montrer l'utilisation abusive des particules adverbiales coréennes ‘e' et ‘esseo', d'identifier des erreurs et de montrer ce qui cause ces erreurs. Les particules ‘e' et ‘esseo' peuvent traduire en général à la préposition ‘à' en français. Mais selon les verbes, l'utilisation de ces particules changent. Par exemple, « Pierre va à Paris» peut traduire « Pierre neun Paris e kayo » tandis que « Pierre travaille à Paris », « Pierre neun Paris esseo ilhaeyo ». Mon analyse porte sur les étudiants de l'université de niveau L1, L2, L3 et Master 1 pour voir des erreurs et des corrections.
Bibliographie
Carré, P. (2005). L'apprenance : vers un nouveau rapport au savoir, Paris, Dunod. 2.
Centre européen pour les langue vivantes (2002). Autonomie de l'apprenant : la perspective de l'enseignant, Strasbourg, Conseil de l'Europe.
Kang, Y. (2015). A study on Education of Korean Particle ‘e', ‘eseo', ‘ro' for Chinese Korean Learners, Séoul, Université Nationale de Séoul, MT.
Lin-Zucker, M., Suzuki, E., Takahashi, N. & Martinez, P. (Dir.). (2011). Compétences d'enseignant à l'épreuve des profils d'apprenant : vers une ingénierie de formation, Paris, Editions des archives contemporaines.
Note biographique
Miran Kim-Gautier est enseignante (de coréen) au département LEA, Faculté des Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines, de l'Université de La Rochelle 1.